- Il a bien raison de ne vouloir inviter personne, ton futur "mari". Déjà, je me demande bien quel besoin tu as de vouloir te marier comme toutes ces pauvres filles qui se pâment en fantasmant sur le prince charmant. Je ne t'ai pas élevée comme ça. Pour que tu te fasses happer par cette institution petite-bourgeoise grotesque et putride.
- Merci de ton soutien, maman.
- Chut, ça commence.